La charcuterie Mon ami Jean-Loup me donne cette photo. Tout à gauche, il y a sa tante, puis sa mère avec les yeux grands ouverts. Jean-Loup m'a montré cett...
Le gentil Je trouve dans une brocante un petit médaillon de garçon. À force de le regarder, je me mets à confondre le méchant visage de James et celui...
La procession La violence aussi est en série. Babette regarde son adversaire avec ce sourire qui laisse apparaître les dents. Une baffe au travers du visa...
La passion 1999 L’odeur du nez de James contre le mien. La pulsation de ces lèvres tressautentes. Y survivre c'est vivre.
La leçon Pendant les vacances, on chasse les marrons, on court comme des dératés à travers les rues. James, lui, est en colo militaire pour apprendre...
La dispute C'est pas parce qu'on est lion tous les deux qu'on peut pas s'entendre. Retrouve-moi à la mare au brochet. ps : la photo du zoo avant LA dis...
La fête On s'incruste aux mariages organisés à la mairie. On s'invite sur les photos et Yoann, une chouquette dans le bec et ses deux dents en l'air...
Les chamailles Avec leurs bobos et leurs chamailles, les autres gosses paraissent à James tout droit sortis du ventre de leur mère.
La réminiscence La lettre est bien là, vivante sous mes doigts et ses mots font rougir la femme que je suis.
Le deuil C'est mon journal de deuil. James n'est pas dans ma classe et je reste une enfant qui colle des ours sur ses carnets.
La laideur James dresse l’index, pointe l’araignée acculée. J’ai honte de ses airs de petit chef, de sa maîtrise des foules.
L'échappé Quand James Henry Trotter prend son sac et quitte les lieux, c'est mon James qui m’échappe.
Le garçon James est le plus grand malgré les deux aînées qui le surplombent. Seuls les garçons comptent et un garçon ça reste sérieux.
L'ambivalence J'ai dit non à James mais tout mon corps disait oui. Aujourd'hui, on ne peut plus dire ça, on ne peut plus être ambivalente sans le payer ch...
Le lascar Thomas me trouve bizarre quand James est là et ça l'agace, il ne me pardonne pas d'aimer un tel lascar.
La cuisine James m'appelle popotte, vachette et paupiette. Je ne connais pas de plus beaux mots. Une bonne tranche de viande garnie d’une farce et roul...
Le caprice Ce jour-là, ça barde deux fois car James ne veut prendre en photo que le cheval et Jane ne veut pas en descendre.
Le samouraï On déguise James en samouraï à la fête. Le photographe nous fait poser dans un décor d'antan. On est comme fou.